Petit à petit, les marchés se sont érigés autour d’un axe majeur, la rue des Rosiers qui relie Paris et Saint-Ouen. Il y règne un parfum de brocante à l’ancienne qui séduit les chineurs du week-end à la recherche d’émotion. On y fouille, fouine, chine, discute les prix à la recherche de la bonne affaire, puis on achète des objets dont la plus-value démérite rarement avec le temps.

Chaque week-end, du samedi matin jusqu’au lundi, la rue Jean-Henri Fabre, le long du périphérique, accueille une foule nombreuse et bigarrée. Rien à voir avec la foule chic et élégante qui parcoure la rue des Rosiers. Pour dénicher le jean, les «pompes» in ou le souvenir pas cher. Des marchands se sont installés tout au long de la rue des Rosiers et anime l’espace en créant un lien physique entre les différents marché de la partie haute à la partie basse des Puces.

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